Lomé Actu, 15 janvier 2025 – L’ancien président sud-coréen Yoon Suk-yeol, démis de ses fonctions après avoir tenté de déclarer la loi martiale le 3 décembre dernier, s’est rendu aux autorités ce mercredi. Avant son arrestation, il a dénoncé une enquête qu’il qualifie d’« illégitime » et déclaré vouloir éviter un bain de sang.
Un processus controversé
Dans son discours, Yoon a critiqué les procédures judiciaires en affirmant qu’elles étaient entachées d’irrégularités et que les bases du système légal sud-coréen s’étaient effondrées. Il a accusé les agences d’investigation de falsifier des documents et de mener des actions coercitives sous couvert d’ordres invalides.
Une décision pour éviter les affrontements
Bien qu’il considère les accusations comme infondées, Yoon a justifié sa reddition par un souci de préserver la paix :
« J’ai choisi de me présenter afin d’éviter des violences inutiles », a-t-il déclaré, en insistant sur son rôle de garant de la Constitution.
Yoon est devenu le premier président sud-coréen arrêté durant son mandat. Son arrestation, survenue après l’intervention de centaines d’agents à son domicile, marque un tournant dans une crise politique sans précédent pour le pays.
DÉPORTATION : 3 Pays Africains en tête de la Liste Noire de Donald Trump
DÉPORTATION : 3 Pays Africains en tête de la Liste Noire de Donald Trump
Extrait 4 du discours du président Félix Tshisekedi au lendemain de l'attaque de Goma
Extrait 3 du discours du président Félix Tshisekedi au lendemain de l'attaque de Goma
Extrait 2 du discours du président Félix Tshisekedi au lendemain de l'attaque de Goma
Extrait 1 du discours du président Félix Tshisekedi au lendemain de l'attaque de Goma
🔴Alerte en RDC : Félix Tshiseked fait une promesse à Paul Kagamé - Discours officiel