Lomé Actu, 14 avril 2025— Le diplomate et homme d’affaires ougandais Chris Rugari traverse une épreuve bouleversante. Quelques jours après la mort tragique de son fils de deux ans, Nganwa Rugari, il a appris, à la suite d’un test ADN, que deux de ses trois enfants aînés ne sont pas biologiquement les siens.
Le drame a éclaté en pleine procédure de divorce avec son ex-épouse, Joline Kanoheri, récemment arrêtée par la police ougandaise. Elle est soupçonnée d’être impliquée dans le décès suspect du petit Nganwa, survenu juste avant qu’un test de paternité ne soit effectué pour clarifier la filiation dans le cadre du divorce.
Selon les informations du LIB, Kanoheri a affirmé que l’enfant serait tombé accidentellement du premier étage de leur maison située à Mutungo, dans la division de Nakawa à Kampala. Toutefois, l’autopsie réalisée sur le corps du jeune garçon a révélé l’absence de blessures compatibles avec une chute, soulevant de sérieux doutes sur les circonstances du drame.
Ironie tragique, le test ADN post-mortem a confirmé que Chris Rugari était bien le père biologique de Nganwa, l’enfant décédé. En revanche, des tests réalisés sur ses autres enfants ont révélé que deux d’entre eux ne partageaient aucun lien biologique avec lui, amplifiant le choc émotionnel déjà immense.